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Les pensée d'une singulière idiote à travers d'autres visages

13 janvier 2009

La rayure du disque

Un jour peut être je me rendrais enfin compte de la chance que j’aie.

Un jour peut être. Pour le moment, tous semble si noir, si désespérant.

Peut être qu’un jour, le soleil se lèvera avec toutes les réponses à mes questions

Ou peut être bien que ce sera la lune avec un ciel parsemé d’étoile qui m’éclairera.

L’avenir est si imprévisible. Pourtant tout dépend de nos choix, tout est commandé,

mais tout est si inattendu. Parfois nos vies semble réduite à un insignifiant détail face au monde

. Sommes-nous alors réellement maitre de notre vie, de notre destin ou de nous même en ce moment?

c’est très frustrant n’est ce pas de ce dire que chaque pas que l’on fait pour avancé,

chaque jours, est déjà écrit dans une partie du monde. Notre histoire n’est peut être alors,

qu’un vieux disque rayé qui tourne sur lui même depuis des siècles et des siècles.

Rien n’est nouveau, tout est déjà vu, déjà fait. Tous n’est que répétition et encore répétition.

Notre comportement humain est ennuyeux, il est même tellement ennuyeux que notre passe temps favoris

est de faire du tord aux autres personnes. Mais c’est comme cela depuis toujours. En résumé, tous les actes

que nous faisons, ont déjà été vu, parmi ces milliards d’hommes qu’il y a eu sur notre planète.

Quel texte plaintif sur l’insignifiance humaine qui détruit le monde a petit feu ! l’homme est mauvais

mais en plus de cela, l’homme est banale est n’apporte rien de nouveau dans son comportement depuis

des génération.

Je le dis, non plutôt, je le répète, peut être qu’un jour, je me rendrais enfin compte de la chance que

j’aie. La chance d’être différente de cette banalité, la chance d’être une autre de ces personnes si démoniaque, la chance d’être quelqu’un de bien enfin de compte. Mais en attendant de me rendre compte de cela, je me languis en écoutant ce vieux disque rayé ?

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8 janvier 2009

les sombres pensées d'une lycéennes du lycée Georges colomb

devfbccw

Je suis cette fille dans ce lycée qui ne sait pas ou elle marche, qui ne sais pas ou elle va.

Les yeux maquillés de noir pour cacher ce que je ressens. Car si vous lisez en moi vous y trouverez toutes mes peines, tous mes pleurs que je ne veux dévoilés au monde. C’est un fardeau que je porte, c’est un jardin secret plutôt sombre que je garde pour moi et rien que pour moi. Je cultive des souvenirs qui sont durs, ce ne serait pas raisonnable de vous les dévoiler pour qu’après vous ayez de la pitié à mon égard. Ce n’est pas ce que je veux, je veux être seule ou que j’aille, n’avoir la responsabilité de personne pour ne pas pleurez quand l’un d’entre vous partira, quand l’un d’entre vous me laissera encore un souvenir amer. C’est égoïste de ma part de me renfermer, mais c’est sans doute aussi pour vous protéger de moi, car autour de moi « tous le monde part un jour ».

8 janvier 2009

« tu ne seras jamais seule, je serais toujours là pour toi »

Tu disais : « tu ne seras jamais seule, je serais toujours là pour toi »

Mais, je t’ai attendu ce jour là, et jamais tu ne m’est revenu.

Les larmes brûlent mes jouent au fur et à mesure qu’elles coulent.

Il ne me reste que des souvenirs, des photographies en mémoires,

Il ne me reste plus rien de toi à part ton odeur qui disparaitra avec le temps.

Tu disais : « tu ne seras jamais seule, je serais toujours là pour toi »

Pourtant aujourd’hui je suis si seule dans cette grande maison.

Tu sais que je déteste ça, mais tu ne peu plus rien, tu ne peux plus combler ce vide.

Je pleurs et je sanglote en croyant à ton retour qui ne s’effectuera jamais.

Je suis noyée dans mes propres larmes.

Je t’ai encore attendu aujourd’hui.

Mais tu n’es toujours pas revenu, tu n’as pas passé cette porte.

Cette idée que tu ne reviendras jamais me hante chaque instant.

Je me perds dans une vision plutôt noire de ma vie,

L’avenir ne s’explique pas clairement, c’est très flou.

A l’intérieur de moi j’ai cette voix qui me dit :

« tu ne seras jamais seule, je serais toujours là pour toi »

Mais je ne comprends même plus le sens de cette phrase, de tes mots.

Ils demeureront a jamais en moi comme un mensonge,

Comme une promesse qui n’a pas été respecté et qui a gâché ma vie.

Tu as dit auparavant : « tu ne seras jamais seule, je serais toujours là pour toi »

Quand je te rejoindrai tous là haut engage-toi à tenir cette promesse.

Car c’est le seul espoir qui me permet d’avoir la tête dans les étoiles,

C’est le seul espoir de croire que toi, maintenant, tu es une belle étoile.

8 janvier 2009

L'inexistance de l'espoir, de l'amour

Je t’attendais depuis longtemps. A vrai dire depuis des siècles et tu es enfin venu.

J’étais une brute sans pitié, un animal qui avait soif de tuer, j’étais un lion féroce.

Désormais je suis le lion qui s’éprit de l’agneau. Je suis calme fasse à tes mots.

Je pleurs même fasse au soleil que je maudissais chaque jour, pour ne m’avoir donné

le souffle qui me permet aujourd’hui de te suivre.

Grâce à toi je crois en une chose, pourtant inexplicable mais je crois. Peu être en l’espoir,

car le fait de te connaître dépassait mes espérances, peu être en l’amour, car celui-ci m’ai

tombé dessus quand tu m’as regardé, peu être en une force qui dépasse les explications de notre

monde, car ce que je ressent ne peut être expliqué.

Qu’il est stupide cet agneau de venir dans la cage du lion. Mais que le lion demeure calme

quand il voit la silhouette de l’agneau. Ce n’est pas une fable, mais la réalité. Ou simplement

le rêve qui demeure au fond de mon corps, ce rêve de te voir apparaître devant moi depuis des siècles.

Ce dont je suis sur depuis toujours, c’est que ce rêve parait très réel, sans doute l’est il. Mais

en attendant l’agneau qui m’adoucira, je continue a vivre dans une cage d’espoir inexistant.

8 janvier 2009

La Chaleur de ses Yeux D'anges

A chaque secondes qui passe, je meurs  un peu plus…. Comme tous le monde ici.

Mais quand « lui » me regarde, quand lui me transperce, la mort n’est plus rien.

Je n’ai plus peur de mourir, je n’ai pas peur de mourir. Mais quand ses yeux se fermeront

je demeurerai cette chair humaine si froide, si misérable. Car la chaleur de son regard,

ne pourra plus m’abriter du froid si piquant, si tranchant. Je serai alors baigné dans un hiver

éternel, dont seul lui pourra transformer, dont seul lui pourra réchauffer.

En attendant ses pas de vaillant chevalier, je me couche, je somnole, puis je m’endors enfin

au risque de ne pas me réveiller, au risque de tous perdre si tel est le souhait du destin.

Car l’amour est un risque, et c’est certainement le plus grand risque que nous, humains, animaux,

Créatures de l’autre monde, essayons de prendre sans forcément le contrôler, sans jamais

le contrôler.  Cette sensation de la non maîtrise des choses, nous étouffe, mais cette

résistance que l’amour nous impose, nous donne un désir qui croisse à la montée de

chaque lunes dans le ciel. Nous désirons l’autre, je le désir lui. Je  peux expliquer pourquoi

la chaleur de ses yeux d’ange me rassurent, me transporte, me donne une telle confiance en lui

que je pourrait le suivre dans les chemins les plus périlleux qu’il empruntera.

Une histoire à la Roméo et Juliette me dites vous ? Je ne pense pas.

Chaque histoire et unique, peu être que certaines sont semblables, mais chaque histoire

a son grain de magie, à sa particularité. Peu être que vous aurez une histoire passionnante

comme la mienne, c’est ce que je vous souhaite.

En attendant, je vis la mienne dans la chaleur de ses yeux d’anges.

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Les pensée d'une singulière idiote à travers d'autres visages
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